Rencontre avec nos bénévoles

Salim Kassam, un résident de Calgary, a à cœur de redonner à sa communauté.
En 2014, Salim a reçu un diagnostic de syndrome de Usher, une maladie génétique qui s'attaque à la fois à l'ouïe et à la vision. C'est à ce moment-là qu'il a communiqué avec INCA pour obtenir du soutien, et il s'est rapidement épris de la collectivité et de la cause.

En tant que mentor techno, Alan donne de son temps pour travailler individuellement avec des participants de la région de la Colombie-Britannique qui souhaitent améliorer leurs compétences en matière de technologies d'assistance et d'accessibilité.

Le camp Lake Joe d'INCA a la chance de compter sur des bénévoles de longue date, mais il n'y en a pas beaucoup comme Jess Bailey. Elle a fait du bénévolat au camp Lake Joe d'INCA pendant la majeure partie de sa vie!

Le Conseil national des jeunes d'INCA (CNJ) offre à ses membres la possibilité d'influencer le changement et d'accroître la sensibilisation aux questions auxquelles sont confrontés les jeunes Canadiens vivant avec une perte de vision.

Tout le monde aime un livre passionnant qui se lit d'une traite, y compris Lynn Kennedy, qui voulait partager son amour de la lecture avec les autres. En 2020, elle a commencé à faire du bénévolat en tant qu'animatrice de club de lecture. 

« INCA a été une grande source de soutien pour mon fils, et j’en suis très reconnaissante », confie Lynn. « J'ai pris un vif intérêt à apprendre comment INCA aide les personnes ayant une limitation visuelle et à connaître les différents programmes offerts. »

Louise est devenue bénévole d'INCA en mars 2020 pour apporter son soutien aux personnes aveugles ou ayant une limitation visuelle pendant la pandémie de COVID-19.

« C'était une période de besoins criants et d'isolement total pour nous tous. Je voulais redonner à ma communauté en tant que personne ayant une perte de vision », explique Louise. « L'utilisation régulière de la plateforme Zoom nous a donné un sentiment de rapprochement. Cela a également renforcé notre confiance dans l'utilisation de la technologie. » 

After losing his vision suddenly in 2011, Quebec City’s Louis Levesque began to volunteer as a peer support group facilitator.

“When I lost my vision, I could no longer do my job,” says Louis. “At 55, I was too young to be idle, so it seemed like a natural fit to help those who were facing the same challenges as me.”

With an incredible amount of empathy, Louis is committed to creating safe spaces that welcome the most difficult conversations related to sight loss.

Emer Ferguson, de Kitchener-Waterloo, est animatrice bénévole d’un club de cuisine. En tant que personne en perte de vision, elle a beaucoup appris des personnes aveugles ou ayant une vision partielle. 

La cuisine est une compétence essentielle dans la vie. Pour les personnes vivant avec une perte de vision, savoir cuisiner peut être essentiel pour acquérir de la confiance et de l’autonomie. 

Emer Ferguson, de Kitchener-Waterloo, est animatrice bénévole d’un club de cuisine. En tant que personne en perte de vision, elle a beaucoup appris des personnes aveugles ou ayant une vision partielle. 

« Qu’il s’agisse d’utiliser une marmite instantanée, une mijoteuse ou de consacrer plus de temps à la cuisine, ils m’ont appris que tout est possible dans la cuisine », explique Emer. 

En tant que mentore techno d’INCA, Betty Nobel, de Vancouver, se porte volontaire pour aider à mettre les connaissances technologiques les plus récentes à la portée des gens. 

« Les gens doivent avoir l’espoir de pouvoir continuer à vivre de manière indépendante après avoir perdu la vision, affirme Betty. INCA a joué un grand rôle dans mon parcours vers l’indépendance depuis ma naissance et c’est pourquoi j’ai toujours voulu donner en retour. »

Sandra a commencé à faire du bénévolat à INCA dans le cadre du programme Vision Amitié qui met en contact des bénévoles avec des participants pour des conversations amicales. La première fois qu'elle a entendu parler du Centre Lake Joseph d'INCA, c'était lors d'un groupe de soutien par les pairs dans sa ville natale de Newmarket.

Diagnostiqué de la maladie de Stargardt lorsqu'il était adolescent, la passion de Kevin pour l'autodéfense a été éveillée à l'université. Il a rencontré un technicien en assistance sur le campus qui s’est avéré un ami défenseur des personnes en situation de handicap. 

En tant qu’assistant-capitaine de son équipe de hockey, Warren Wong, d'Edmonton, savait ce que cela signifiait d'être un leader. Il entraînait également son frère et ses amis, leur montrant des exercices pour améliorer leurs compétences. En raison de la pandémie, Warren a assumé un rôle d'entraîneur différent, celui de mentor techno d'INCA.

Pour Rositsa Ivanova, de Toronto, faire du bénévolat à INCA a été une occasion formidable d'acquérir de nouvelles compétences et d’agir concrètement pour améliorer la vie des Canadiens ayant une limitation visuelle. 

Pour Céline Garneau, faire du bénévolat à la Fondation INCA est un réel plaisir. Professeure de philosophie à la retraite, elle s’est jointe à notre équipe de bénévoles en 2002 en aidant à créer des livres audio accessibles pour les personnes ayant une perte de vision à notre studio d’enregistrement.

Lorsque Yuko a vu pour la première fois l’affichage d’un poste d'éleveur de chiots il y a plus de deux ans, elle a été intriguée. Elle venait juste de déménager à Halifax et cherchait un moyen de s'engager dans sa nouvelle communauté.

Au cours de l'été 2019, quatre étudiants en soins infirmiers de l'Université de Colombie-Britannique (UBC) sur le campus Okanagan ont amélioré la vie des personnes ayant une perte de vision.

Pour Nancy Simonot, faire du bénévolat au Centre Lake Joseph d’INCA, un camp de villégiature qui transforme la vie et qui offre des expériences enrichissantes aux Canadiens ayant une perte de vision, est une histoire de famille. Son parcours avec INCA a commencé lorsque son fils, Matthew, a vécu une expérience exceptionnelle en tant qu’animateur bénévole.

Lloyd a animé des sessions de groupe, mais il a également reconnu le besoin d'une formation plus personnalisée pour les novices en matière de technologie et c'est pourquoi il a également commencé à se porter volontaire en tant que mentor techno.

Dans ce rôle, Kimberly dirige des programmes pour les jeunes conçus par le personnel de la Fondation INCA pour leur donner des outils, comme le leadership, la rédaction de curriculum vitae et la santé mentale.

Julie Morneault est bénévole à la Fondation INCA depuis 2013. Elle a depuis occupé plusieurs postes au sein de l'organisme. Tout en faisant du bénévolat dans son bureau local d'INCA, elle se rend également dans la communauté pour raconter son histoire et parler de l'importance de l'accessibilité et de l'inclusion

Grâce à des bénévoles comme Gary, toute une nouvelle génération d'enfants grandira en se demandant comment ils peuvent contribuer à rendre le pays plus accessible.

Brittany Farrell, de St. John's, Terre-Neuve, est active au sein de la Fondation INCA depuis plus longtemps qu'elle ne peut se souvenir. Du bénévolat lors d'événements, jusqu’à l'aide apportée dans son bureau local, Brittany Farrell est passionnée par son engagement au sein de sa communauté.

Wendy Schilka travaille deux fois par mois comme bénévole à la Fondation INCA d'Abbotsford à titre d'animatrice du groupe d'entraide. Cette expérience a été une source d'inspiration qui l'a incitée à retourner à l'université à l'âge de 64 ans pour obtenir son diplôme en counseling.

Darlene MacMillan est bénévole à la Fondation INCA, à titre de membre de Vision Amitié et est jumelée avec Stacie, une résidente de Moncton vivant avec une perte de vision. Elles vont se promener ensemble deux ou trois fois par semaine, et même marcher sur une piste intérieure en hiver. Elles se fixent des objectifs de mise en forme et travaillent ensemble pour les atteindre.

Tous les soirs après le travail, Cindy a conduit sur le boulevard et a passé devant le bureau d'INCA pendant 13 ans avant de prendre sa retraite comme infirmière autorisée. Elle connaissait INCA sans vraiment penser à l'organisme de bienfaisance qu'elle longeait pendant son trajet quotidien.

Tous les mardis, Geneviève Wales fait du bénévolat à la Fondation d'INCA à Halifax, où elle enseigne le braille à trois personnes vivant avec une perte de vision.

Il y a quelque chose à propos de l'affiche « Smashing Barriers » au hub communautaire d'INCA de la GRT qui a attiré l'attention de Michael Warren.

Ales Janosik n'avait jamais rencontré une personne aveugle avant, mais maintenant il ne peut pas imaginer la vie sans ami, Roger. Depuis 2014, Ales est bénévole Vision Amitié jumelé à Roger, un homme aveugle de Charlottetown.

Ancien commentateur de sports fort coloré à la chaîne de télévision CTV, Bob Huber était un être social et autonome, mais lorsque ce résident de Régina a perdu la vue, son monde n’a plus jamais été le même.

Depuis près d’un siècle, INCA est un outil crucial pour les personnes aveugles et ayant une vision partielle. Toutefois, les services essentiels qu’il offre seraient impensables sans la collaboration de ses généreux donateurs ainsi que de ses employés et de ses bénévoles dévoués. Comme je vis avec une perte de vision, j’estime que mon expérience à INCA est plutôt unique, puisque je suis à la fois une cliente et une bénévole.

Dorothy recueille des fonds pour rendre de nouveaux programmes possibles!

Souper dans le noir, Marchons le soir, ventes de gâteries! « Si je peux aider à recueillir des fonds et à sensibiliser les gens aux activités d’INCA qui m’ont aidée et peuvent aider d’autres personnes, cela en vaut la peine. »

Les bénévoles Vision Amitié comme Carol offrent une aide directe à des personnes de leur communauté!

À peine un mois dans ce nouveau rôle, je peux difficilement m’imaginer ma vie après la retraite sans emploi sans Verna et Buster.

Récemment diplômée du programme de sciences biologiques et psychologie de l’Université Windsor, je suis bénévole depuis sept mois. J’apprécie grandement l’expérience et les relations que j’ai acquises.

Donner en retour – Le récit de Charlene Young
Donner en retour est plus qu’une simple passion pour Charlene Young, c’est un mode de vie.

Les facilitateurs de groupe comme Veronika aident à changer les vies!

Ma douleur a trouvé un sens lorsque j’ai constaté que je pouvais aider d’autres personnes qui vivaient la même expérience que moi »